Préfet du Calvados dans les années 1840, il était resté fidèle à l’Empire jusqu’à sa révocation en septembre 1870. Il poursuivit ensuite sa carrière comme député et sénateur dans les rangs bonapartistes, ce qui explique sans doute le grognement désaprobateur de Poincaré et de ses camarades. Voir [A. Robert & G. Cougny 1890-1891] ainsi que son dossier de Légion d’honneur aux archives nationales (LH/1600/44)